Professeur d’Histoire et Géographie retraité, j’ai rempli de nombreuses responsabilités : syndicaliste, mutualiste, militant associatif dans mon quartier ( La Gare et Delille) : j’ai également donné de mon temps libre pour promouvoir des relations ferroviaires plus performantes, grâce à la Grande Vitesse, entre Clermont et Paris mais aussi Clermont et Lyon, que la SNCF voulait ignorer.
Gaulliste social, nostalgique de la rencontre des « républicains des deux rives », j’ai opté, lors de chaque scrutin, pour le candidat qui m’apparaissait le plus apte à remplir son mandat au mieux des intérêts de la population : chez nous, René SOUCHON, à la Région Auvergne, et Jean-Yves GOUTTEBEL pour le Puy-de-Dôme, ont prouvé leur qualification. Parfois, j’ai dû voter, par défaut…
Aujourd’hui, pour Clermont, j’opte pour le choix d’ une femme, qui sera un maire volontaire, davantage à l’unisson de la ville, ambitieuse par des projets qui répondent enfin aux vœux de ces « figures libres » parmi lesquelles je me range , une élue ayant de l’expérience qui me donne confiance, qui ne cumulera pas et réservera toute son énergie pour la satisfaction de ces clermontois que l’on a, jusqu’ici, trop peu écoutés et entendus .
Mireille LACOMBE a fait ses preuves dans divers mandats et missions qui lui ont été confiés : je retiens, en particulier, son rôle au secours des plus démunis.
Dans la perspective de la métropole clermontoise, les questions de circulation et de transports, sur lesquelles j’ai beaucoup travaillé, au sein d’associations, exigent un « saut qualitatif » pour répondre aux attentes des clermontois : il ne faut plus « jouer petit » et ne plus donner ni dans le « rafistolage » ni dans la dispersion et le désordre ; Il faut des plans d’ensemble à moyen et long terme et phaser leur réalisation.