top of page

« Une Dynamique citoyenne et républicaine »

Cette ambition conduit au rassemblement des citoyens dont une des aspirations majeures est de participer aux affaires de la cité.

 

Il faut régénérer la démocratie locale !

 

Un besoin grandissant de transparence s’est manifesté au fur et à mesure de certains épisodes, le dernier en date étant la regrettable épopée relative au projet de l’Hôtel-Dieu qui va coûter cher aux Clermontois ou encore le parcours chaotique de la future Grande Bibliothèque communautaire. Au niveau de leurs quartiers, les Clermontois veulent être écoutés par leurs élus sur ce qui doit participer à une vie harmonieuse pour assurer le meilleur « vivre ensemble » possible.

 

Il faut refonder les valeurs de l’engagement individuel et collectif !

 

La liste conduite par Mireille Lacombe est une liste de Renouveau démocratique ; ses membres sont largement impliqués dans des activités associatives à titre bénévole et, à titre personnel, dans des engagements syndicaux et politiques. C’est une liste républicaine qui place l’intérêt général au-dessus des intérêts particuliers ; laïque, c’est-à-dire qui respecte de la même manière toutes les convictions religieuses ou philosophiques et s’abstient de prendre parti pour les unes ou les autres ; citoyenne, c’est-à-dire qui associe les citoyens aux élus qu’ils ont choisis pour les représenter et s’engage à entretenir avec eux un dialogue permanent et ouvert dans un esprit de respect et d’écoute.

 

Cette liste fonde son engagement sur une analyse politique de la situation nationale et locale, situation qui se caractérise économiquement et socialement par un endettement public excessif qui contraint les collectivités, en raison de la part croissante des remboursements, à limiter leurs actions, et par un appauvrissement de couches de plus en plus nombreuses de la population. Il en résulte pour Clermont-Ferrand la nécessité de maintenir la charge fiscale de ses habitants à son niveau actuel pendant au moins trois ans et à centrer ses dépenses sur l’essentiel en repoussant ultérieurement des projets intéressants.

 

Les modes de gouvernance doivent changer en profondeur et être orientés vers la coopération et non la confrontation, vers les partenariats et non les oppositions stériles à l’encontre de l’État, la Région, le Département, les communes de l’agglomération clermontoise, l’Hôpital, les Universités, etc.

 

 

Nos projets

 

 

La création de 11 grands secteurs territorialisés placés sous la responsabilité d’un adjoint et de conseillers municipaux qui en soient issus, à l’écoute et au contact des habitants pour qu’ils ne se sentent plus exclus de la décision publique.

 

Ces secteurs sont les suivants (et peuvent faire l’objet de modifications) :

 

  • La Glacière / Chanturgue / Montjuzet / Trémonteix / Champradet

  • Sabourin / Croix de Neyrat / La Gauthière / La Plaine

  • Champratel / Les Vergnes

  • Montferrand / République

  • Le Brézet / Herbet / La Pardieu / La Fontaine du Bac

  • Gare SNCF / Oradou / La Fayette / La Pradelle

  • Saint-Jacques / Les Cézeaux

  • Delille / Cours Sablon / Les Carmes

  • Salins / Vallières

  • Blatin / Jaude / Victoire / Centre historique

  • Gaillard / Bughes / Saint-Alyre / Fontgiève / Galaxie / Berthelot

 

Une permanence régulière des élus responsables du secteur dans les maisons ou mairies de quartier seront créées, en plus de la mairie annexe de Montferrand, une mairie de quartier au nord de la Ville (Croix de Neyrat) et une seconde au sud-est (Fontaine du Bac) avec un pôle «relais de services publics».

 

Une nécessité : créer un poste d’adjoint en charge de l’égalité Homme-Femme

 

Mettre en œuvre un véritable dialogue avec les Clermontois en organisant une concertation avec les habitants et en repensant le mode de fonctionnement et le champ d’action des actuels Conseils de la Vie Locale (CVL).

 

Une nécessité : créer un poste d’adjoint en charge de l’égalité Homme-Femme.Mettre en œuvre un véritable dialogue avec les Clermontois en organisant une concertation avec les habitants et en repensant le mode de fonctionnement et le champ d’action des actuels Conseils de la Vie Locale (CVL).

 

Les CVL ne peuvent plus être ces lieux où tel ou tel élu apporte la « bonne parole » indiscutable. Sur le modèle des anciens conseils de quartier, ils doivent redevenir des instances où les projets sont envisagés, étudiés en commun et évalués auprès des associations locales et des habitants et, à l’issue de ces étapes, validés ou ajournés.

 

Rompre avec les faux débats sur la tranquillité publique

 

Il s’agit de rétablir une vie harmonieuse dans la cité en réorganisant les moyens municipaux affectés à la tranquillité publique, notamment la Police Municipale. Le maire détient, de par la loi, des pouvoirs de police pour assurer la tranquillité publique des citoyens, pouvoirs qu’il faut mieux coordonner avec ceux de l’État affectés à la sécurité publique.

 

Une police municipale de proximité doit être au service d’une population quel que soit le lieu d’habitation.

 

La présence sur le terrain d’agents de police « visibles » doit être assurée avec, pour points d’ancrage, les mairies de quartier.

 

Devront être organisées des missions d’îlotage qui conjuguent le traitement des nuisances et incivilités urbaines, la détection des faits nécessitant l’intervention de la police nationale avec laquelle la police municipale est en relation constante et confiante.

 

Il faut aussi sortir du faux débat sur la vidéosurveillance qui, dans un mode d’utilisation parfaitement contrôlé et ciblé sur des lieux sensibles, doit faire partie des outils à disposition de la police nationale en étroite coordination avec la Ville et sa police municipale.

 

Il s’agit d’instituer une « médiation sociale » qui va mobiliser sur le long terme les acteurs que sont l’État, la Ville, l’Éducation Nationale, les associations des milieux culturels et sportifs…

 

 

 

1.

bottom of page