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Je suis née à Aurillac dans le Cantal. J'ai 37 ans. Comme beaucoup de jeunes, j'ai  dû quitter mon département suite à une mutation professionnelle dans le secteur du commerce, et je suis devenue clermontoise d'adoption depuis une dizaine d'années.

 

A présent, installée dans le quartier des Salins, je me suis engagée dans la vie de mon quartier. J'ai  adhéré  au  comité de  quartier  "Salins-Regensburg-Verdun-Vallières"  où j'ai  rencontré  de nombreux adhérents, très engagés pour défendre des projets. J'aime le contact direct avec les gens et suis membre de conseil syndical.

 

Je ne suis pas "encartée" dans un parti politique. Je ne comprends pas les discours des "têtes pensantes" de nos partis "classiques" et je combats leurs crises d'égo exacerbées et les abus de pouvoir. C'est la raison pour laquelle je m'engage avec Mireille Lacombe.

 

Citoyenne  libre,  je  souhaiterais   devenir  conseillère  municipale  de  Clermont-Ferrand pour m'occuper des autres, loin de toute influence partisane, par simple envie de me sentir utile à la société. Dans mon enfance, j'ai souffert de voir mes parents et leurs amis craindre de perdre leur emploi. Aujourd'hui, je ne peux rester insensible à la crise qui traverse notre société.

 

Mes  grands-parents  étant  issus  des  milieux  agricoles  et  ouvriers,  j'ai  toujours  vécu  dans une  grande  famille,  où  le  sens  du   partage  et  du  travail  avait  une  grande  influence.  J'ai en mémoire les  souvenirs  de la  vie  à  la campagne, j'aime  me  retrouver  en  famille. Ma  grand- mère est, encore aujourd'hui,  pour moi,  source  de force et  d’affection.  Je  suis très attachée à l'Auvergne, aux valeurs de la terre, au respect de la nature et à sa préservation.

 

Je  trouve  que  nous  avons  de  la  chance  de  vivre  dans  une  magnifique  région. Clermont- Ferrand  est  une  ville  où  il  fait  « bon  vivre ». Ce  qui  manque  à  cette  ville  c’est  l’écoute  et le  droit  à  la  parole  des  citoyens.  Nous  devons  combattre  l’égoïsme  dans  notre  quotidien et  rompre  avec  des  hommes  et  des femmes  politiques  qui  ne  vont  voir  les habitants qu’au moment des élections.

 

Il faut changer tout ça et réapprendre à vivre ensemble !

 

Gladys Gibert

 

Réapprendre le sens du partage, du travail, de la famille

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