Professeur de collège retraité, j’ai décidé à 65 ans, de mettre mon expérience de citoyen clermontois et d’ancien conseiller municipal de la Tour d’Auvergne, président de l’Office de tourisme Sancy-Artense, au service de la liste menée par Mireille Lacombe.

 

Le tourisme est un domaine dans lequel j’ai longuement œuvré à l’échelon local, intercommunal, départemental et régional.

 

J’ai créé la bourse départementale annuelle de documentation touristique. Afin de renforcer le professionnalisme des agents d’accueil, j’ai organisé des sessions de formation linguistique ainsi que des modules de perfectionnement en gestion pour les administrateurs. J’ai aussi eu à cœur de rapprocher les partenaires professionnels et les institutions pour optimiser les investissements publics et privés. Pour moi, l’aspect économique du tourisme est primordial. Dans ce sens j’ai travaillé pour améliorer les hébergements existants et prioritairement les meublés saisonniers de tourisme.

 

Le tourisme est un domaine d’avenir pour lequel j’ai des idées et des solutions originales à proposer.

 

Pour Clermont, je pense que, parallèlement à l’offre touristique professionnelle, il faudrait imaginer des formes de promotion alternatives qui impliquent les habitants. Inciter par exemple ces derniers à devenir « ambassadeurs » de leur ville lors de leurs séjours hors région. Autre exemple, rejoindre le réseau www.globalgreeternetwork.info. Il s’agit d’une initiative citoyenne de résidents qui s’organisent pour rassembler des histoires et des anecdotes de leur quartier puis les racontent aux visiteurs au cours de balades programmées. C’est une manière insolite d’accueillir des touristes, mais c’est aussi un moyen de tisser des liens entre les habitants et les quartiers et renforcer leur sentiment d’appartenance à la ville qu’ils découvrent et redécouvrent.

 

Par ailleurs je suis intéressé par une autre initiative que je trouve jeune et dynamique, déjà réalisée dans plusieurs villes du monde. Il s’agit de « I Charleston the world » qui consiste à créer une vidéo diffusée ensuite sur le web et présentant des danseurs de charleston devant les sites, édifices ou monuments remarquables de leur ville.

 

Ce qui m’a amené à rejoindre Milreille Lacombe c’est aussi la prise en compte des problématiques des personnes en situation de handicap dans la conduite de la politique du CG, des personnes auxquelles j’ai toujours été attaché.

 

Constatant que les enfants trisomiques scolarisés au collège dans lequel j’enseignais restaient isolés, j’ai conçu une méthode d’initiation à la civilisation anglaise adaptée : par le biais d’un tutorat, les élèves des classes traditionnelles et ceux en difficulté sont arrivés à se rencontrer, à travailler ensemble et à tisser des liens. Nous avons été parmi les premiers en France à créer et animer une telle section dite Unité Pédagogique d'Intégration (UPI). La démarche a rencontré un vif succès : promotion à la télévision, films pédagogiques, interventions dans divers colloques internationaux, journaux et revues spécialisées. J’ai rédigé une documentation pédagogique à la demande et à destination du Ministère de l’Éducation sur les stratégies éducatives en UPI.

 

Parallèlement en tant que directeur d'un foyer d'hébergement de travailleurs, j’ai accordé une priorité à l'assistance des occupants dans leurs problèmes administratifs et l'aide sociale.

 

Ces activités professionnelles m’ont amené à m’intéresser aux problèmes des gens et à faire mon maximum pour les solutionner… il y a hélas encore beaucoup à faire !

 

Je suis intimement convaincu que la démarche de Mireille Lacombe est novatrice, ouverte et honnête. Elle ne s’appuie pas sur des gens qui sont « dans le système », mais repose sur une équipe porteuse d’idées novatrices et sans considération d’ancienneté dans l’action politique ou d’appartenance à des appareils.