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Etudiant en médecine et ancien élève de la cité scolaire Blaise Pascal, j’ai 20 ans et j’habite le quartier République. Je suis passionné par la musique : j’ai suivi des cours de violon pendant 9 ans au Conservatoire de Clermont-Ferrand, puis, j’ai appris seul à jouer au piano. Mes études de médecine sont motivées par le besoin de me sentir utile, d’aider les gens, d’avoir un métier avec un aspect social et humain.

 

Je me sens profondément concerné par la vie de la ville qui m’a vu naître et qui m'a permis de m'épanouir en tant que citoyen. J’ai décidé d’adhérer à la liste de Mireille Lacombe parce qu’elle me « parle » tout d'abord en tant que citoyen clermontois, je me retrouve dans les hommes et les femmes qui la composent. Des gens à l'image de leur cité, des « figures » libres clermontoises, engagées dans la vie associative qui s'efforcent à rendre la souveraineté aux citoyens.

 

Sans étiquette politique affirmée mais d'une gauche diverse et assumée, ils proposent de sortir des habituels clivages entre les partis afin de construire ensemble une ville sociale, solide et solidaire. Née d'une réflexion commune, la charte, elle, contribue à lutter contre les inégalités sociales, de santé, de services, afin de garantir un accès à la ville (sport, culture, transport etc...) pour tous. Et restaure ainsi des fondements républicains de l'égalité. Par exemple, l'accès à la culture musicale (concerts, pratique instrumentale) est encore trop élitiste. Il faut remédier aux raisons qui conduisent à un ressenti de culture pour les riches et de culture pour les pauvres.

 

Mon engagement au sein du collectif sera en étroite relation avec la jeunesse et la vie étudiante (plus particulièrement associative). Cette dernière est d'ores et déjà développée mais pas suffisamment et uniformément. En effet, la diversité des filières universitaires n'est pas représentée actuellement de façon homogène. Certaines ne bénéficiant toujours pas de bureau des étudiants. Ce qui est forcément dommageable car celui-ci représente le noyau dur, la cohésion au sein d'une même filière. De plus, les progrès enregistrés dans certaines filières (tutorat pour l'égalité des chances afin de limiter l'échec en première année) gagneraient à être adoptés de façon pédagogique et associative dans un bon nombre de formations post bac. Enfin, la réunion des deux universités et les enjeux que celle-ci soulève, me semble être un point fondamental et décisif dans la future organisation de la vie étudiante clermontoise.

 

Khaled Tahri 

 

Restaurer les fondements républicains de l’égalité

avec la Charte citoyenne

 

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