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Je suis né en 1944 à Ossun dans les Hautes Pyrénées, mais j’ai construit ma vie professionnelle et familiale en Auvergne, au Mont Dore et à Clermont-Ferrand. Aujourd’hui, retraité de la SNCF, je poursuis l’idéal qui a animé toute mon expérience professionnelle : soutenir, de manière désintéressée et bénévole, les gens qui sont dans le besoin. Grâce notamment aux quelques connaissances juridiques que j’ai accumulées au fil des années. Je retire de cette action une satisfaction personnelle importante.

 

Je suis entré à la SNCF en 1961, après avoir été fortement incité par mon père, chef de brigade d’ouvriers professionnels du service mécanique à la SNCF Sud Ouest. Après une formation à l’Ecole des chemins de fer et quelques années d’expérience, j’ai intégré la Surveillance générale des chemins de fer, d’abord en Aquitaine et ensuite à Clermont-Ferrand.

 

C’est à cette époque que j’ai découvert le droit et commencé à m’intéresser à tout ce qui touche le domaine juridique. J’ai pris conscience des champs possibles vers lesquels ouvrait le droit et du fait que les gens ne les utilisaient pas, par simple méconnaissance. Je me suis donc investi dans de nombreuses associations et activités bénévoles avec l’envie d’aiguiller les personnes vers des solutions concrètes à leurs problèmes.

 

Dans le cadre du Comité de Massif Central, j’ ai été membre à titre syndical de CFTC de trois commissions : Infrastructures, Tourisme et Commission Permanente. Par ailleurs, j’ai été conseiller Prud’Homme dans la section commerce de Clermont Ferrand pendant presque dix ans. En tant que conciliateur de justice dans les huit cantons de Clermont-Ferrand, j’ai traité bien des dossiers, souvent très complexes.

 

Bénévole à l’Association des Paralysés de France, j’ai participé à des études de permis à construction concernant l’accessibilité. A l’UNICEF, j’ai fait partie du service des dons et des legs. Je me suis énormément investi dans l’Association « Enfance et Partage » qui se consacre à la protection des enfants mineurs, la prévention de la maltraitance en milieu scolaire ainsi que du harcèlement. J’ai été également bénévole au Secours Catholique et à la Croix Rouge.

 

Ma participation à la liste « Vivre ma Ville : Solide, Sociale, Solidaire » est motivée par mon intérêt pour les sujets sociaux et culturels. Dans le quartier où j’habite, j’ai été confronté aux présentations et aux décisions concernant les bassins d’orage envisagés sur La Pradelle. Sur le plan culturel, j’ai eu la chance de suivre, pendant 25 ans, les animations du Mont Dore. Je suis très sensible à cette effervescence d’activités et de spectacles ouverts à tous ; ce « bouillon de culture » de proximité, dans les quartiers, enrichit chacun de nous, resserre les liens entre citoyens et dynamise la cité.

 

Ces expériences variées de ma vie de citoyen me poussent à rejoindre Mireille Lacombe. Radical de gauche depuis 1980, je suis très attaché à la liberté personnelle et opposé à la pesanteur des appareils politiques. J’aime ce mouvement de gauche, libre, ouvert, « décomplexé » qui ressort de la liste laïque et républicaine de Mireille Lacombe. J’ai, d’emblée, signé la Charte qui reflète mes idées : une citoyenneté qui porte, en elle, le volontariat, la solidarité, l’envie de construire au quotidien. Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin de cette vision-là de la société.

 

Marc Pilaprat

 

Mobiliser les citoyens sur des projets concrets

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