Je suis retraitée du Ministère des finances publiques, résidant dans le quartier Roberval-Vallières, près du stade Philippe Marcombes où il fait bon vivre. 

 

A soixante six ans, mon engagement auprès des autres fait partie des valeurs auxquelles j’accorde une importance particulière. 

 

Je suis attachée au fondement de notre République grâce à ma famille, à l’éducation qu’elle m’a donnée et je pense tout particulièrement à mon père, longtemps engagé en politique dans une commune de l’agglomération clermontoise. Cela a marqué ma vie personnelle et professionnelle. Il y a des choses gravées en soi que l’on garde toujours. 

 

J’ai été militante d’associations sportives et aujourd’hui je consacre beaucoup de temps au réseau mutualiste très important en France ; il compte encore beaucoup d’adhérents et de salariés et c’est une richesse pour défendre l’égal accès aux soins pour tous. 

 

A travers la Mutualité Française où je suis investie depuis plus de quinze années maintenant, j’ai trouvé un équilibre personnel qui m’a donné une ouverture d’esprit et une relation particulière aux autres ; avec mes collègues bénévoles, nous suivons avec attention les décisions prises par le législateur sur ces questions fondamentales touchant aux droits et à l’éthique. 

 

Hélas, j’ai été souvent confrontée aux dures réalités et aux problèmes que nos concitoyens rencontrent dans leur vie quotidienne ; la crise et la prise en charge du vieillissement sont les grands défis auxquels nous sommes tous confrontés.

 

J’ai le souhait de peser aujourd’hui dans la vie politique de Clermont-Ferrand, ma ville, dans la continuité des diverses actions que j’ai pu mener jusqu’à présent. 

 

Je suis ouverte au dialogue et animée par la volonté de m’impliquer tout en respectant les valeurs qui me tiennent à cœur, principalement la justice et l’équité sociales pour combattre toutes les inégalités afin de permettre à ceux qui en ont le plus besoin un égal accès aux soins. 

 

J’ai signé la charte proposée par Mireille Lacombe car elle souligne l’intérêt d’être à l’écoute des préoccupations des clermontois, dans leur quartier mais aussi pour traiter des questions sociales et des autres politiques qui concernent une gestion transparente des finances publiques. 

 

Par ailleurs, je plaide pour que nous soyons tous rassemblés autour du même objectif : donner à la capitale auvergnate la place qui lui revient au niveau  national.