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Après un bac littéraire au Lycée A.Brugière à Clermont-Ferrand, j'ai suivi des études en Droit et en Psychologie, avant d’embrasser une carrière dans la fonction publique territoriale où, à 39 ans, j’exerce le métier de bibliothécaire.

 

Je me suis engagé très tôt dans la vie associative et syndicale, ainsi que dans la vie politique. Membre actif de plusieurs associations de quartier, j'ai siégé à ce titre dans un conseil de quartier (actuels CVL). J'ai également été militant au sein du PS 63, avant de prendre mes distances avec les évolutions actuelles de ce parti.

 

Membre du bureau du cercle « Pour l'Europe », j’ai également présidé diverses associations de jeunesse (association d’étudiants en psychologie de Clermont-Ferrand (Apsys) ; association des Jeunes Européens Auvergne en 2005).

 

Attaché à la démocratie participative et à la vie citoyenne, j'ai cherché dans mes divers engagements à promouvoir un idéal de progrès partagé. Petit fils d'ouvrier Michelin du côté de ma mère, et petit fils d'un ouvrier agricole portugais du côté de mon père, j'ai à cœur de développer la vie de ce territoire. Ma profession et mes engagements orientent mon intérêt vers le développement culturel et le rayonnement international de notre belle cité. A ce titre, la réalisation de la « Grande Bibliothèque » si longtemps promise me paraît indispensable pour poser les jalons d'une démocratisation culturelle toujours à construire.

 

Natif de Clermont-Ferrand et originaire des quartiers Nord de la ville, j'habite, depuis plusieurs années, à proximité de la place « Delille » qui, entre la dimension festive du Boulevard Trudaine, la dynamique commerçante de l’espace Neyron et les relances d’activités de la rue du Port à encourager, est un creuset de diversité citoyenne. Mais le « vivre ensemble » et la prospérité économique qui s'y manifestent sont des réussites qu'il convient de préserver par une écoute respectueuse des citoyens et de leurs inquiétudes souvent légitimes et de leurs projets.

 

Mon engagement auprès de Mireille Lacombe s'inscrit dans la fidélité à nos valeurs citoyennes, humanistes et républicaines partagées. La traduction politique de ces valeurs me paraît plus susceptible de se réaliser dans une démarche de projet telle que la porte notre liste de « figures libres », que dans des « logiques d'appareils » traditionnelles.

 

Stéphane SIMON

 

Poser les jalons d’une démocratisation

culturelle à construire

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